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Réseaux sociaux et journalisme : en quoi sont-ils complémentaires ?

Actualité publiée le 23 March 2023

Les réseaux sociaux deviennent une véritable source pour de nombreux professionnels du journalisme. S’ils véhiculent parfois du contenu douteux, ils peuvent néanmoins permettre de se mettre en contact avec des sources à l’autre bout du monde, qui vivent en direct les événements qui constituent l’actualité. Dans ce contexte, comment sont-ils devenus complémentaires du travail d’enquête en journalisme ? 

 

Visuel - journalisme réseaux sociaux

Les réseaux sociaux : conscients de leur rôle dans le journalisme 

 

Les internautes reçoivent une quantité sans cesse croissante de contenus informatifs en ligne. Si en 2005 Facebook utilisait l’amitié pour fédérer une communauté d’utilisateurs, le réseau social est désormais devenu une source solide d’informations. Quant à Twitter, il se positionne aujourd’hui comme une place d’échange et de débats avec ses quelque 280 millions d’utilisateurs réguliers. 

Les réseaux sociaux multiplient dorénavant les opérations pour lutter contre la désinformation sur Internet. Ils cherchent à ne plus divulguer de fake news et modifient leurs algorithmes en vue de proposer des contenus plus objectifs, globaux et vérifiés. 

On voit donc des informations importantes et véridiques apparaître directement sur les réseaux sociaux, comme en atteste l’annonce de la démission du gouvernement de Christiane Taubira (ancienne Garde des Sceaux), directement parue en ligne en 2016 sur Twitter. 

 

Comment le journalisme utilise-t-il les réseaux sociaux ? 

 

La pandémie de la Covid-19 et les confinements à répétition ont fortement contribué à faire des réseaux sociaux des sources viables pour couvrir l’actualité. Les imitations aux déplacements, qui se sont appliquées aussi aux professionnels, ont permis à ces plateformes d’émerger comme sources de l’information en direct. 

Certains professionnels du journalisme considèrent les réseaux sociaux comme des plateformes viables de relais de l’information. Ils pensent que ces sites Internet sont un excellent moyen de diffuser l’information à un public large et à un lectorat qui n’aurait pas, de lui-même, recherché ce type de contenu. 

Face aux réseaux sociaux, le journalisme n’a plus l’exclusivité de l’information. Les professionnels en ont conscience et adoptent de nouvelles pratiques en vue de maîtriser l’outil Internet de manière professionnelle. 

 

Réseaux sociaux et journalisme : les limites 

 

Naturellement, l’utilisation massive des réseaux sociaux comme plateforme de contact et source d’information conduit à des dérives quant à la véracité des informations ainsi échangées. La crédibilité des internautes à s’exprimer sur un sujet est également un thème régulièrement abordé dans le journalisme. Dans ce contexte, les journalistes font office de vérificateurs de l’éthique, de l’objectivité et de la crédibilité des données. 

Les outils que constituent les plateformes sociales ne peuvent en aucun cas remplacer le travail des professionnels. Leur enquête de fonds et leur synthèse analytique sont cruciales pour permettre au grand public de mieux comprendre un sujet, d’en saisir les enjeux et les conséquences. 

L’ISFJ propose à ce titre un Parcours Journalisme qui bénéficie d’un contenu d’apprentissage qui prend en considération les enjeux et les transformations actuelles du journalisme face au numérique. 

Les professionnels du journalisme apprennent à utiliser les réseaux sociaux comme véritable outil de leurs enquêtes afin de proposer une information viable et vérifiée même via les plateformes en ligne. 

Commentateur sportif : quelles sont les clés pour réussir ?

Actualité publiée le 16 March 2023

Le commentateur sportif est un féru de sport qui travaille au sein d’un média. Professionnel de l’information autant que passionné de sport, comment faire pour réussir à son tour dans le métier ? 

 

Visuel - devenir commentateur sportif

Le commentateur sportif est un expert de l’information 

 

Le commentateur sportif est un expert double : il connaît parfaitement l’univers du sport (et plus spécifiquement sa discipline de prédilection), tout en étant reconnu comme véritable professionnel de l’information. Dûment formé, il sait utiliser tous les médias actuels : radio, TV, web et multimédia. 

Dans le cadre de son travail, il allie quotidiennement des compétences de ces deux secteurs. Le commentateur sportif sait s’exprimer de manière intelligible et claire en étant en mesure de suivre le rythme d’une rencontre sportive. Bien qu’il soit amené à commenter un match, ses interventions doivent être mesurées et véridiques, l’information qu’il propose au titre de ses commentaires doit donc être vérifiée. 

Son commentaire doit être incisif, dynamique et permettre aux adeptes comme aux néophytes de suivre une manifestation sportive et d’en comprendre la technicité et les enjeux, par exemple. Le commentateur sportif manie donc l’explication, la technique sportive et la diction professionnelle. Il utilise ainsi des terminologies spécialisées, connaît les règles des principales disciplines sportives et leur histoire et les explique pour toucher un public le plus large possible. 

Le commentateur sportif n’a pas nécessairement derrière lui une carrière d’athlète, mais bien une formation journalistique. Il lui faut pouvoir intervenir à la fois en direct depuis la manifestation ou de manière différée, à l’occasion d’un briefing ou d’une émission. Sachez que les commentateurs sportifs prêtent également leurs voix aux jeux vidéo : Hervé Mathoux et Pierre Ménès sont les commentateurs officiels de la version française du jeu FIFA par exemple. 

 

Exercer comme commentateur sportif : privilégier le terrain 

 

Le commentateur sportif est un expert de son domaine, il sait intervenir à l’oral à l’occasion de nombreuses manifestations sportives en y apportant une véritable valeur ajoutée. Il maîtrise les principes de l’information professionnelle, sait élaborer un contenu viable, attractif et de qualité. 

S’il a suivi un apprentissage technique lui offrant de savoir créer une chronique ou un commentaire spécialisé dans le sport, le commentateur sportif a surtout bénéficié d’une bonne expérience sur le terrain. Avant de trouver un poste, il a en effet cumulé les interventions sur de très nombreux événements et dans des disciplines très variées. 

Ces années d’expérience, en plus de le former très concrètement aux réalités pratiques de son métier, lui ont offert de se constituer un réseau professionnel de qualité, disponible et dynamique. C’est la seconde clé de la réussite en tant que commentateur sportif professionnel : pouvoir faire appel à ses pairs dans l’exercice de son travail. Rappelons aussi que le commentateur sportif doit être prêt à beaucoup travailler au début de sa carrière, afin de se construire une notoriété professionnelle et un CV attractif. 

C’est pour cette raison que l’ISFJ propose un module de cours spécialisé dans le journalisme sportif avec de très nombreuses modalités d’entraînement pratique : projets professionnels, création d’émission ou encore stages en alternance. 

Le salaire du commentateur sportif varie en fonction de sa notoriété et de la structure qui l’emploie.

Les masterclass à l’ISFJ : comment se démarquer sur le marché de l’emploi ?

Actualité publiée le 13 March 2023

Grande nouveauté de cette année, l‘ISFJ lance sa série de master class spéciales journalisme, les étudiants bénéficient ainsi d’un nouveau point fort dans leur formation. Ces masterclass sont une occasion unique de se démarquer sur le marché de l’emploi en développant des relations clefs au sein de leur futur secteur professionnel. 

Visuel - Masterclass Antoine Guillot

Masterclass ISFJ : lancement de la saison 2023 – 2024 

 

L’ISFJ forme à tous les métiers du journalisme : allant de la presse écrite et web à la presse TV en passant par la radio. L’Institut Supérieur de Formation au Journalisme délivre des titres reconnus par l’Etat, de Bac à Bac+5. Consciente des nouveaux enjeux et mode de consommation de l’information, l’école prend soin de surligner certains modes de communication comme les podcasts, la production de contenu sur mobile (MOJO), mais aussi le journalisme de solution (SOJO).Sa grande fierté ? C’est bien la pédagogie mise en place au sein de l’école. Alliant projets concrets, professionnalisation et cursus en alternance, tout est fait pour projeter les étudiants dans leur future vie professionnelle. Dans cette même idée, l’ISFJ est fière de lancer ses masterclass. 

Deux fois par mois, le campus de Vaugirard (15e arrondissement de Paris) accueille un invité. Un professionnel du journalisme en activité, qui présente un parcours inspirant pour les étudiants. Les masterclass se tiennent après les cours, dans une salle réagencée spécialement pour l’évènement. Tables, chaises, lumières, micros et canapés : tout est installé de façon à créer une ambiance détendue mais néanmoins studieuse propre à une rencontre enrichissante autant pour l’intervenant que pour les étudiants. 

Les masterclass de l’ISFJ, ce ne sont pas de simples rencontres. Il s’agit, plus tard, d’un véritable atout professionnel : que ce soit lors d’un entretien d’embauche ou dans le cadre d’un travail. Les invités expliquent concrètement aux étudiants la façon dont ils ont trouvé leurs premières piges, leurs premiers employeurs, leurs premiers sujets et même jusqu’à la façon dont ils ont choisi leur spécialisation, et surtout, pourquoi. 

 

Les atouts d’une masterclass 

 

Les masterclass c’est avant tout une façon d’aborder des corps de métiers bien spécifiques et / ou peu répandus du journalisme. Quand, en cours, les étudiants apprennent à rédiger un article papier avec des angles pertinents et interpellant, les masterclass peuvent, elles, présenter des secteurs très spécialisés et peu médiatisés. Comme, par exemple, des critiques cinéma. A contrario, l’ISFJ invite aussi des journalistes venus de grandes sociétés : France Culture, Euradio, Le Figaro ou Les Jours. Des rédacteurs en chef, des présidents et présidentes d’associations de journalisme européen mais également des grands reporters venus de l’étranger ; ils sont tous prévus au programme 2023 de masterclass ISFJ. 

Cette polyvalence des métiers, abordés tant dans l’enseignement que dans les masterclass, est essentielle à tout journaliste. En effet, une culture la plus étendue possiblesur un maximum de sujets possibles – est l’une des cordes les plus solides de l’arc d’un journaliste. Les masterclass sont donc un avantage non négligeable : elles offrent le point de vue d’experts, toutes branches journalistiques confondues, qui vient s’ajouter à celles déjà préexistantes des étudiants. 

Mieux encore, ces masterclass permettent aussi de comparer ses méthodes de travail à celle de professionnels. Pour une interview : prise de notes, enregistreur vocal, téléphone, tout ça réuni ? Et pour une critique de film ? Comment éviter les spoilers dans son papier ? Comment trouver un angle original, qu’est-ce qui plaît aux rédactions ? Autant de points d’interrogations et de questions qui peuvent désormais être posées directement par les étudiants à une large palette de professionnel du secteur. 

 

Première rencontre de l’année : portrait d’Antoine Guillot 

 

Journaliste, critique de cinéma et de bande-dessinées, mais également producteur: Antoine Guillot est aussi le premier invité des masterclass ISFJ 2023. Il commence par narrer son parcours, parce que oui, comment devient-on critique pour l’industrie du cinéma ? Pour lui, ce poste l’a appelé après 10 ans de carrière dans la production cinématographique. Dans la continuité de son ancienne occupation, il intervient dans des émissions pour parler et débattre des nouvelles sorties sur le grand écran. Cela fait maintenant 20 ans qu’il exerce comme journaliste, dont 5 qu’il a passé en tant que responsable d’une revue de presse culturelle hebdomadaire. Aujourd’hui, il est le producteur de “Plan Large, l’encyclopédie vivante du cinéma” qui passe tous les samedis sur France Culture. 

Accompagné de sa présentation power point, il a, le temps d’une soirée, décrypté son métier de critique. Comment prendre des notes à l’aveugle dans une salle de cinéma, comment tourner ces mêmes notes en articles, mais sans en révéler trop. Comment jongler entre ses différents postes, etc. 

 

Les opportunités de stage et d’emploi 

 

Sur ces bons conseils notés en masterclass, les étudiants n’ont plus qu’à se lancer dans le monde du travail. En première année, le cursus Bachelor propose un premier stage pour se lancer en douceur dans la vie active. Dès la deuxième année et jusqu’à la fin de la cinquième année (en Mastère), les rythmes d’études passent en alternance. 

Plus que des conseils, les étudiants peuvent également profiter de ces rencontres professionnelles pour ajouter de nouveaux contacts à leur carnet d’adresses. Que ce soit pour ouvrir une porte d’entrée dans un milieu difficile d’accès ou pour pouvoir contacter de nouveaux intervenants pour leurs projets professionnels et / ou personnels, les masterclass sont des perches à saisir. 

Le mois prochain, l’ISFJ accueil un nouvel invité : Christophe Sommet, directeur du Pôle Thématiques de TF1. 

Qu’est-ce qu’un envoyé spécial ?

Actualité publiée le 8 March 2023

L’envoyé spécial est un journaliste envoyé par la rédaction qui l’emploie au cœur de l’actualité afin de couvrir un événement exceptionnel et spécifique. Il recueille les informations sur place, livre les premières données à propos de l’actualité et traite avec les événements en direct. Zoom sur ce journaliste d’exception. 

Visuel - Qu'est-ce qu'un envoyé spécial ?

L’envoyé spécial : l’expert de l’information sur le terrain 

L’envoyé spécial est dépêché par la structure qui l’emploie directement sur le lieu de l’actualité et au plus près du moment où elle se déroule. Sur le terrain, il doit rassembler le plus d’informations possible sur un événement ou un sujet brûlant en quelques minutes seulement.  

C’est donc un excellent journaliste, capable de travailler très rapidement et dans des situations variées, parfois stressantes voire dangereuses. Il est capable de regrouper des informations viables, véridique, de les vérifier et de les présenter de manière technique et intelligible en quelques heures. Dans le cadre de ses missions sur le terrain, l’envoyé spécial doit également prendre des photographies ou filmer certaines séquences. Il peut être accompagné d’un expert de l’audiovisuel, caméraman ou journaliste photo. Pour parvenir à ce tour de force, l’envoyé spécial est généralement spécialisé dans un secteur : sport, culture, pays, etc. 

Dans le cadre de son travail, l’envoyé spécial fait preuve de rapidité, mais doit constamment veiller à respecter la ligne éditoriale de la structure qui l’emploie. Son rédacteur en chef lui précise en effet les délais attendus et le format qu’il doit fournir. Après avoir été briefé par son responsable (généralement de manière brève et succincte, afin de s’assurer d’arriver rapidement au cœurde l’actualité), l’envoyé spécial se tient prêt à se rendre sur les lieux de l’événement.  

En France comme partout dans le monde, c’est un professionnel qui est prêt à faire de longs voyages et qui s’adapte donc rapidement aux divers pays où il est dépêché. Durant sa mission, il reste d’ailleurs en contact régulier avec sa rédaction, à qui il fournit des indications sur l’avancée de son travail, des ébauches ou des rendus en épisodes. 

 

Existe-t-il une formation pour devenir envoyé spécial ? 

L’envoyé spécial présente un profil unique et très recherché dans le domaine de l’information professionnelle. Proactif, il est curieux, aventurier et s’adapte rapidement tout en justifiant d’un haut niveau de technique journalistique. 

Fin analyste, excellent pour synthétiser une information, c’est également une personne douée d’un bon contact relationnel et capable de supporter des situations parfois difficiles. Pour exercer ce métier, l’envoyé spécial a suivi une formation spécialisée dans le journalisme et cumulé de longues années d’expériences sur le terrain. 

Son cursus classique en journalisme lui a permis de maîtriser les principes du journalisme professionnel : regroupement de l’information, vérification des sources, mise en forme de son propos, illustration imagée, etc. À l’occasion de sa formation, l’envoyé spécial a été attentif à se construire un réseau lui permettant d’opérer même à l’autre bout du monde. En cumulant de l’expérience sur le terrain, il s’est aussi formé à intervenir dans de très nombreuses situations, à gérer le stress et à développer son adaptabilité naturelle. 

L’ISFJ propose à ce titre une formation Journalisme reconnue et appréciée des recruteurs du secteur qui se déroule selon la modalité de l’alternance et qui offre de véritablement se former pour devenir envoyé spécial. 

Passionnant, technique et parfois éprouvant, l’envoyé spécial est un métier emblématique des professions du journalisme.

Journaliste d’investigation : quelles sont ses missions ?

Actualité publiée le 2 March 2023

Emblème des professions du journalisme, le journaliste d’investigation est un professionnel à part, qui propose des contenus hautement qualitatifs et qui résultent d’une enquête longue et pointilleuse. Amoureux de la vérité, tenace et reconnu dans son milieu, qui est-il et quelles sont ses missions ? 

Visuel - missions journaliste investigation

Le journaliste d’investigation : fournir une information viable 

L’objectif du journaliste d’investigation est de révéler des infirmations cachées afin de faire éclater la vérité. Il doit donc, avant de fournir le résultat de ses recherches, suivre une méthode technique visant à faire des recherches très approfondies, vérifier ses sources et croiser leurs dires, interroger des spécialistes ou des témoins, etc.  

Après avoir rassemblé un maximum d’informations sur son sujet, il est important que le journaliste d’enquête hiérarchise les faits et sache les présenter de manière intelligible. En effet, sa mission est de garantir la diffusion d’une information viable et véridique. Son travail d’enquête offre de certifier la véracité de ses découvertes, mais il doit également diffuser ses investigations afin de toucher le maximum de personnes. Il lui faut donc se rapprocher d’une agence de presse ou d’une rédaction s’il ne travaille pas déjà pour une structure, ou savoir manipuler les bons canaux de diffusion en ligne. 

Afin de relever cette mission cruciale dans son travail, le journaliste suit des enquêtes minutieuses et très longues. Certaines durent des mois, d’autres des années. Il lui faut aussi savoir travailler au sein des grandes rédactions nationales papier, des chaînes de TV (et donc produire une investigation au format audiovisuel), ou même pour le web. 

 

Journaliste d’investigation : une mission démocratique 

Au titre de ses missions professionnelles, le journaliste d’investigation se trouve être le garant des régimes démocratiques. Il met au grand jour les malversations des plus grands et s’assure de ne jamais relayer de fake news ou autres informations malveillantes. 

Le journaliste d’enquête a conscience de son rôle fondamental dans les sociétés démocratiques et suit à ce titre les recommandations déontologiques de son métier. En pratique, il s’agit généralement d’un professionnel qui fait preuve de longues années d’expérience dans le domaine. Rompu aux techniques de l’enquête journalistique, il bénéficie également d’un solide réseau professionnel, composé de personnalités influentes ou qui occupent des postes de premier choix. 

Le journaliste d’investigation a donc suivi un parcours universitaire spécialisé en journalisme. Au fil de ce cursus, il a développé tous les outils techniques de l’enquête journalistique : suivi d’enquête, mise en forme du contenu et diffusion, constitution de son carnet d’adresses et découverte de nombreux secteurs. Il a également eu l’occasion de produire du contenu sous des formes variées : articles et dossiers écrits, émissions d’investigation en plateau TV, reportages filmés ou photo ou encore élaboration d’une émission diffusée sur le web. 

L’ISFJ propose un cursus complet de type PGE spécialisé dans le journalisme. Au fil des 5 années que constitue l’intégralité de la formation au Mastère Journalisme, les étudiants se forment aux diverses branches du secteur. Forts du très haut niveau d’enseignement de l’école et de leur apprentissage en alternance, ils peuvent parfaitement relever les missions du journaliste enquêteur à l’issue de leurs études. 

Le journaliste d’investigation est un professionnel patient, scrupuleux et qui justifie de plusieurs années d’expérience dans le milieu. Métier emblématique du secteur, il ne peut être exercé que suite à un apprentissage méthodique et une expérience sur le terrain.

Animateur radio : comment le devenir ?

Actualité publiée le 27 February 2023

C’est un des principaux médias de l’information contemporaine : la radio ne perd pas de son attrait et continue d’attirer les auditeurs comme les professionnels. Elle a entamé sa transition numérique, en investissant le digital et en proposant de nouveaux formats. Comment, dans ce contexte, être certain de devenir animateur radio ? 

Visuel - devenir animateur radio

Quel est le profil pour devenir animateur radio ? 

 

Pour devenir animateur radio, il faut se construire un bagage de compétences et un profil professionnel spécifique qui allie attrait personnel pour le format audio et capacités techniques. 

Un animateur radio doit se sentir à l’aise face à un micro et être capable (grâce à un entraînement quotidien) de parler de manière claire, distincte et mesurée. Si certains excellents animateurs radio sont reconnaissables à leur voix ou aux modulations de leurs discours, il n’en demeure pas moins qu’ils s’expriment tous de manière technique et intelligible. 

L’animateur radio sait également improviser, il dispose à ce titre d’une excellente culture générale qui lui permet de rebondir face à tous les sujets et en de nombreuses situations. Il peut également avoir préféré se spécialiser dans une branche, une filière ou un secteur spécifique : musique, art, politique, etc. 

L’animateur radio doit aussi savoir proposer du contenu de qualité, original et personnalisé. Il sait donc élaborer l’intégralité de ses interventions, limiter son propre temps de parole et celui de ses intervenants, faire intervenir les bons chroniqueurs, journalistes ou invités et même produire lui-même ses contenus. À ce titre, il justifie souvent de compétences en réalisation : utilisation d’une table de mixage ou d’un logiciel de diffusion, par exemple. 

 

Devenir animateur radio : préférer un parcours en journalisme 

 

C’est un fait, la très grande majorité des animateurs radio qui sont parvenus à faire carrière ont suivi à l’origine une formation en journalisme. Certains ont même exercé dans le secteur, en agence de presse ou dans une rédaction papier avant de bifurquer vers l’audiovisuel. 

Une formation en journalisme consiste donc en la meilleure solution pour développer des compétences techniques permettant d’élaborer du contenu de qualité, tout en sachant modeler son support. Au fil de ces cursus spécialisés, on apprend les méthodes de l’enquête journalistique, la diction professionnelle, la création d’une émission ou encore la structure d’une chronique radio. 

Aujourd’hui, il faut privilégier une formation en journalisme qui comporte des éléments d’apprentissages du journalisme web, web radio et podcast. La formation doit en effet permettre de comprendre les contraintes et les enjeux de ces nouveaux formats. Elle doit par ailleurs proposer des modalités d’apprentissage pratique en vue de maîtriser les outils logiciels de création de ces supports digitaux. Un animateur radio contemporain se doit par exemple de connaître les bases de l’audiovisuel, du montage, de la diffusion ou encore de la construction d’un podcast. 

C’est ce que propose l’ISFJ : un parcours spécialisé en journalisme qui bénéficie d’un très haut niveau académique et qui prend en considération les récentes évolutions du secteur. Grâce à sa modalité d’apprentissage en alternance, à ses nombreux travaux pratiques et à ses spécialisations, le cursus Journalisme de l’établissement permet de devenir animateur radio dès l’obtention de son diplôme. 

Un animateur radio qui débute sa carrière peut immédiatement obtenir un salaire attractif : plus de 35 000 euros bruts en moyenne. La grille tarifaire du métier varie considérablement en fonction des structures et des personnalités.

Quelles sont les missions d’un journaliste photo ?

Actualité publiée le 22 February 2023

Le journaliste photo, parfois également appelé reporter photo, prend en charge diverses missions dans le cadre de son travail. Qu’il exerce sur le terrain, pour une rédaction nationale ou locale ou encore sur le web : quelles sont ses missions ? 

Visuel - missions journaliste photo

Apporter du contenu visuel : la mission principale du journaliste photographie 

 

Le journaliste photo est chargé de fournir à sa rédaction du contenu visuel (photographique) en vue d’illustrer, d’expliquer ou d’éclaircir le propos des articles qui sont publiés. Il peut travailler seul et, dans ce cas de figure, les autres journalistes de la rédaction le contactent afin de l’informer des sujets qui doivent paraître ou de leurs besoins en termes de visuels. Sachez que le journaliste photo peut mener à bien ses missions en tant que salarié d’une agence photographique, d’une rédaction journalistique ou même en indépendant (il vend alors ses services à ces entreprises spécialisées dans l’information). 

Le journaliste photo peut également travailler en duo, avec un journaliste rédacteur par exemple. Quand c’est le cas, le journaliste photo suit toutes les étapes de production d’un reportage ou d’un article en menant à bien sa mission de capture de prise de vues. Il peut être amené à effectuer ses clichés sur le terrain, ce qui est principalement le cas lorsqu’il doit couvrir l’actualité (meeting politique, événement sportif, etc.). S’il participe à l’élaboration d’un reportage complet, il lui faudra accompagner son collaborateur dans un travail d’enquête, afin de faire paraître les justes sources photographiques. 

En somme, les missions du journaliste photo varient selon ses modalités de travail et le contexte dans lequel il se trouve : 

– La réalisation de reportages photos. 

– La couverture des faits d’actualité, et plus précisément leur illustration photographique. 

 

En quoi consiste la mission technique du journaliste photo ? 

 

Le journaliste photo est un expert qui porte deux casquettes techniques : celle de journaliste et de photographe. Sur le plan journalistique, il doit faire preuve du même haut niveau de connaissance que ses homologues spécialisés dans la rédaction, la présentation ou l’animation radio. Ses rendus sont de haut niveau qualitatif, adaptés à la ligne éditoriale de l’agence avec laquelle il travaille et apportent une valeur ajoutée au support qu’ils illustrent. 

C’est également un photographe aguerri, qui sait choisir le bon matériel, adapter son équipement à ses besoins techniques et monter seul ses reportages. À ce titre, il lui faut aujourd’hui maîtriser un très large panel d’outils afin de remplir ses missions dans le contexte numérique et digital de l’information contemporaine. 

Le journaliste photo connaît donc les logiciels professionnels de la post-production, du montage et de la retouche photo. Il peut alors décider de prendre en charge des missions liées au journalisme audiovisuel et travailler avec des photographies et des vidéos. On voit par ailleurs de nouvelles spécialités émerger, dont des journalistes qui travaillent intégralement depuis leur smartphone. Dans le MOJO, les journalistes photo savent capturer des clichés de très haute qualité via un téléphone portable dernière génération, les publier seul ou les fournir dans les bons formats et sans endommagement à leurs rédactions partenaires. 

Grâce à l’enseignement de très haut niveau académique et technique proposé à l’ISFJ, les étudiants du parcours journalisme de l’établissement apprennent très vite à prendre en main toutes les missions du journaliste photo contemporain. 

Le journaliste photo, après quelques années d’expérience sur le terrain, peut devenir reporter d’image ou encore responsable du service photo au sein d’une grande agence de presse.

Comment produire un podcast ?

Actualité publiée le 15 February 2023

Le format du podcast séduit de nombreux auditeurs. Il y en a pour tous les goûts et sur tous les sujets : politique, musique, humour, science, etc. Les fichiers audio sont disponibles sur toutes les grandes plateformes de streaming, en abonnement ou en audition ponctuelle. Comment produire son propre podcast ? 

Visuel - Produire un podcast

Produire seul un podcast : étapes incontournables 

 

  • Trouver le bon sujet 

Le concept d’un podcast, c’est ce qui garantit son succès. Pour pouvoir supporter la production de plusieurs épisodes, il est important que le thème soit large et facilement fractionnable. 

 

  • Structurer ses épisodes 

Cette étape découle naturellement du choix du thème du podcast. Attention à bien déterminer la durée des épisodes : optez-vous pour un format long ou court ? À l’occasion de cette étape, pensez à préparer les scripts de chaque épisode et à contacter les invités en décrivant l’objectif de leur intervention. 

 

  • Choisir un nom attractif 

Le choix du nom de votre podcast est crucial afin d’attirer l’attention des auditeurs. Rappelez-vous que votre émission sera proposée sur les plateformes de streaming : en ligne, les internautes sont face à un nombre de choix colossal. Vous devez donc vous démarquer de la concurrence au moyen d’un titre qui plaît, questionne ou fait polémique. C’est aussi pour cette raison qu’il faut choisir une cover (une image) qui représentera votre podcast qui soit cohérente avec votre thème, le ton que vous employez et le public auquel vous vous adressez. 

 

Les étapes techniques pour produire un podcast 

 

Une fois ces étapes préalables déterminées et structurées (au format papier ou numérique), il faut passer à la production à proprement parler. 

En premier lieu, déterminez le matériel technique dont vous aurez besoin : systèmes de captation, équipement de transmission, logiciel de montage, etc. Choisissez aussi l’espace d’enregistrement : chez vous ou en studio par exemple. S’il est tout à fait envisageable d’enregistrer son émission depuis son smartphone et chez soi, il faut rester attentif aux éléments audio qui entachent la qualité finale du podcast : son de frottement, mauvaise balance des pistes, etc. Sur la Toile, il existe plusieurs solutions gratuites d’enregistrement comme Audacity ou Garage Band pour n’en citer que deux. 

Il en va de même pour les logiciels de montage, Internet en offre de très nombreux en libre accès. Le montage est une étape cruciale pour proposer un produit fini et de qualité professionnelle. Ajouter de la musique, un fond sonore ou des effets audio sont des techniques qui font vivre un podcast, accroissent l’attention de l’auditeur et incitent le public à écouter l’intégralité des épisodes proposés. 

Pensez d’ailleurs à apporter une attention spécifique à la promotion du podcast. Mettre en avant votre émission sur les bonnes plateformes, le relayer sur les réseaux sociaux ou le poster sur les bons profils d’influenceurs permet au public de découvrir votre émission. Pour y parvenir, multipliez les contacts professionnels et créez un véritable réseau dynamique et réactif, qui saura soutenir la sortie de votre émission sur la Toile. 

S’il existe de nombreux outils aisément accessibles, produire un podcast de qualité requiert de se former à la maîtrise des techniques professionnelles de l’information et du montage audiovisuel. Méthodologie journalistique, enregistrement des pistes, montage et présentation sont enseignés au sein du parcours Journalisme de l’ISFJ. 

Le podcast, c’est un format d’émission audio qui a le vent en poupe. Très actuel, il doit répondre à des codes entre qualité journalistique et attractivité digitale que seuls les professionnels connaissent et maîtrisent parfaitement.

Quels sont les 5 plus grands médias ?

Actualité publiée le 8 February 2023

En France, comme à l’international, la scène médiatique est dominée par cinq entités : la presse, la télévision (le cinéma compris), l’affichage, la radio et Internet. Comment fonctionnent ces grands médias et quels sont leur impact sur le public ? 

Visuel - 5 grands médias

Classique mais néanmoins actuels : la presse et la radio 

 

Premier média à avoir existé, le journal papier est considéré comme le plus grand média en termes d’historicité. S’il doit désormais partager l’audience avec un lectorat très diversifié (et qui apprécie les nouvelles formes numériques de contenu informatif), la presse écrite reste omniprésente dans le paysage médiatique. Des premières gazettes aux abonnements mobiles des grandes rédactions, le journal évolue au regard de la société. 

La presse écrite continue d’être un puissant média de communication de l’information. Il en va de même de la radio, qui occupe une place de choix au classement des plus grands médias. Ancienne, elle est très répandue de par le monde et connaît des records d’audience, notamment sur les plages horaires matinales et fin d’après-midi. 

Les médias radio et presse écrite permettent également la diffusion d’un contenu marketing et publicitaire, bien que la part de ce contenu doive rester minime. L’affichage en revanche, est le plus grand média qui existe pour transmettre un message promotionnel. Auparavant, il permettait de faire passer au citoyen des informations de dernière minute en place publique et d’être visible par tous. Aujourd’hui, l’affichage fait intégralement partie de l’espace urbain et est presque exclusivement utilisé à des fins commerciales. 

 

Le média Internet : le plus grand actuellement ? 

 

À ces trois plus grands médias doivent impérativement être ajoutés la télévision et le cinéma, qui ont un profil hybride : entre numérique et traditionnel. Longtemps en tête de file des médias les plus grands, la télévision a battu des records d’audience en s’inscrivant dans le quotidien de tous les foyers. Aujourd’hui accessible en ligne et en replay, elle conserve une place de choix. 

L’essor des nouvelles technologies est venu considérablement bouleverser les modes de vie et la diffusion de l’information. Omniprésent, le téléphone mobile connecté est l’appareil plébiscité par une forte majorité de la population mondiale pour accéder à l’information. Par là même, les formes des contenus ont explosé en diversité : vidéos, posts sur les réseaux, articles de blog, parutions sur les versions digitales des grands journaux, etc. 

C’est ce qui tend à faire d’Internet le premier de tous les grands médias : la pluralité de forme et de contenus qu’il comprend. Sur le net, on peut profiter d’une information radio, télévisuelle, écrite ou encore de publicités ciblées. 

Consciente de l’importance des 5 plus grands médias sur la scène politique et citoyenne, l’ISFJ prend soin d’inclure des modules d’apprentissages techniques dans chaque grande catégorie de supports de l’information. 

Les cinq grands médias qui occupent l’espace informatif font preuve d’un pouvoir colossal sur leur public. Ils influent sur leurs opinions, leur mode de pensée : ils sont garants des systèmes politiques démocratiques. Leur rôle central dans la société civile doit impérativement être protégé au moyen de l’éthique journalistique, qui garantit la diffusion d’informations viables et objectives.

Journalisme : quelle voie de spécialisation choisir ?

Actualité publiée le 2 February 2023

Il existe autant de spécialités en journalisme qu’il y a d’intérêt du public ou de professionnels pour traiter un sujet en particulier. Si se spécialiser est désormais devenu incontournable, quels conseils suivre pour bien choisir sa voie en journalisme ? 

Visuel - choisir sa voie en journalisme

Pourquoi se spécialiser en journalisme ? 

 

Le développement fulgurant des nouvelles technologies et le haut niveau de qualification de très nombreuses filières contraignent les journalistes à se spécialiser. Acquérir une expertise pointue dans un domaine leur permet de divulguer une information viable et vérifiable en un temps plus court. 

Expert de son domaine, le journaliste spécialisé dispose d’un socle de compétences qui lui permet de rapidement déterminer la probabilité de la véracité d’une information. Ses recherches sont alors plus rapides, ciblées et aboutissent à un travail de meilleure qualité. 

S’il travaille pour une rédaction spécialisée, il pourra activement contribuer à faire avancer l’état de ses connaissances dans son secteur de prédilection. Pour un journal grand public ou une émission de radio à large audience, il sera grâce à ses connaissances, véritablement en mesure de rendre son discours intelligible à un public de non-initié,  prenant part de ce fait à la démocratisation de l’information et du savoir. 

 

Comment choisir sa voie en journalisme ? 

 

Il n’existe pas de parcours professionnel type en journalisme, les journalistes qui réussissent démontrent tous d’une expérience unique. Ce qui les a conduits à privilégier une filière de spécialisation plutôt qu’une autre, ce sont leurs goûts ou les occasions qui se sont présentées durant leur parcours universitaire et professionnel. 

Il est donc important de démontrer en premier lieu d’une appétence réelle pour un domaine. Curiosité ou passion, l’intérêt pour une filière s’exploite ensuite au niveau technique en transformant ses qualités naturelles en compétences professionnelles. Ainsi, pour choisir son domaine de spécialité, il n’y a pas de règle. 

Certains étudiants choisissent dès le baccalauréat une filière qui déterminera plus tard leurs domaines de prédilection : série littéraire pour les journalistes culture ou encore économique pour les experts de la finance. Mais cette sectorisation des spécialités n’est plus aussi rigide qu’auparavant. 

Les systèmes de passerelles entre les divers parcours universitaires et les formations techniques en journalismes offrent aux étudiants de choisir une spécialisation tout au long de leurs études, voire parfois d’en changer. Attention cependant, les recruteurs du secteur de l’information apprécient des profils démontrant d’un intérêt précoce pour le journalisme. S’il n’est donc pas requis de se spécialiser dès l’obtention du baccalauréat, entamer en bac +1 un parcours orienté dans le journalisme et le poursuivre jusqu’à l’obtention d’un Mastère est en revanche vivement appréciée. 

 

Quelles sont les voies à privilégier en journalisme ? 

 

Il n’existe pas à proprement parler de filière de spécification à privilégier en journalisme. En effet, l’information journalistique regroupe tous les sujets d’actualité et englobe toutes les disciplines imaginables. Il est cependant important d’être attentif aux tendances et aux attentes des lecteurs afin d’anticiper leurs besoins en termes d’information. Par exemple, de nos jours, les journalistes spécialisés en Big Data, en digital ou en environnement sont recherchés par de nombreuses rédactions. 

À l’inverse, les filières plus traditionnelles conservent leur attrait, il est donc vivement conseillé aux étudiants désireux de faire carrière dans le journalisme de choisir une école qui offre plusieurs options de spécialisation dont à minima : journalisme de mode, politique scientifique et sport. 

 

L’ISFJ permet à ses étudiants d’expérimenter ces secteurs grâce à différents modules de formation. Cet enseignement de haut niveau est accompagné de nombreux stages en alternance, qui constituent une seconde possibilité de se spécialiser en se formant au contact des rédactions expertes d’un secteur. 

 

Bien choisir sa voie est crucial en journalisme. À la fois pour s’épanouir pleinement dans ses études et dans sa vie professionnelle ainsi que pour s’assurer d’un emploi à l’issue de son parcours universitaire. 

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